Au cours du XXème siècle, la recherche en biologie a consenti une réorientation heureuse.
Elle s’est tournée vers l’étude du développement de la vie dès son origine. Ce
changement est consécutif à une prise de conscience chère à Maria
Montessori : l’enfant et l’adulte sont attachés par un lien d’amour
dépassant la raison.
Ce lien est physique car depuis sa conception, la cellule d’origine –
moitié père et moitié mère – germe dans le corps de sa mère. Durant sa vie
embryonnaire puis après sa naissance, ses parents forment un foyer d’amour
satisfaisant le premier besoin du nourrisson. Celui de la protection.
Ce lien se diffuse aussi aux domaines de la psychologie car l’enfant
provoque chez l’adulte toutes sortes de sentiments. Le comportement de l’adulte
dépend donc directement de celui de l’enfant.
En fait, ce dernier représente un idéal parce qu’il sort l’adulte de son
égocentrisme en réhabilitant des états instinctifs comme l’abnégation ou le
sacrifice. Alors, à l’image des animaux, la survie de l’espèce humaine tient au
renoncement du confort individuel de l’adulte pour faire une place à l’enfant.
Maria Montessori décrit l’enfance comme une « ligne qui rejoint les deux
générations d’adultes ». C’est-à-dire qu’un adulte est relié à ses
géniteurs par son enfance. Cette vision apporte donc une dimension nouvelle à
l’étude de l’Homme.
En voyant la photo, j'ai cru que tu nous annonçais une bonne nouvelle et que le petit 6ème était en route !...
RépondreSupprimerAh ah, décidément, cette photo suscite des interrogations !! J'ai réutilisé la photo de la troisième échographie de Nistounette...
SupprimerC'est toujours aussi beau un futur nouveau-né, même vu à l'échographie... Bon, faut pas que je reste là moi, ça va me donner des envies et c'est pas le moment !!!
RépondreSupprimer:-D
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